domenica 6 novembre 2022

Locorotondo + 14 anni

Penso che sia uno dei più bei posti al mondo.

venerdì 4 settembre 2009

3G 300dh pr 2M et 2 bps/mn

Juste à côté de chez nous, il y a tout: agence de voyage, magasins de luxe, chantiers, décharges, rats morts, magasin de jouets « La grande récré » avec climatisation (exactement comme en France), trottoirs détruits, trottoirs flambants neufs, immenses panneaux publicitaires, tracteurs qui traversent la rue, mosquée (évidemment), un lycée espagnol et un lycée marocain, une boutique de Jaguar (oui, la voiture) et les librairies les plus petites que j’aie jamais vues.

Il y a, entre autre, une boutique Menara, Maroc Telecom, avec un gentil vendeur.

Horaires d’ouverture : 10h-16h et ensuite 20h30-22h30 (horaire spécial Ramadan : peu de boutiques sont ouvertes entre 16h et 20h, ils ont trop faim)

Vincent est allé le voir lundi soir et c’était 600 dh la clé 3G avec un mois de connexion gratuite. Finalement, on l’a eu deux jours après pour 300 dh, il y avait une promotion et nous avons finalement une connexion internet a casa !!! Sans aucun doute la pire que j’ai jamais eue (oui, je compte dans le lot, la toute première, celle où il fallait attendre 10 minutes pour voir s’afficher une page… c’est bien pire… et inutile de dire que ça ne fonctionne pas sous linux :o(, c’est un spécial windows). Ca coupe toutes les cinq minutes, la puissance de téléchargement est proche de zéro et même skype a du mal à suivre… mais bon, ça marche !!!

J’ai appris en retournant à la boutique aujourd’hui que ce sera finalement deux mois de connexion gratuits. J’ai dit au gentil vendeur que c’était pas très rapide et je lui ai demandé à quel moment j’avais le plus de chance d’arriver à lire mes mails sans que ça coupe entre deux lignes de lecture frustrée. Il m’a dit, « faut attendre que le mois du Ramadan s’termine. Les gens ils dorment parce qu’ils ont faim et ils chattent pour passer l’temps » (avec l’accent).

Attendons donc. Ensuite ça coûtera 200dh par mois pour la connexion illimitée (pour le moment, c’est surtout la patience qui doit être illimitée !!).

Beaucoup de choses nouvelles chaque jours, et comme je m’y emploie un truc nouveau à goûter à chaque repas !! Hier j’ai acheté des pois chiches dans un seau d’eau, au verre et on les a cuisinés et mangés en salade. Plus toute sorte de petits pains, galettes chaussons fourrés qui sont apparemment très appréciés au moment du Ramadan. On en a goûté un qui m’a rappelé les petits pâtés de Pézenas de Titi : une espèce de chausson à la viande sucré… bof.

Arthus a adoré sa deuxième journée d’école bien que le cours d’arabe ne soit pas très bien côté dans son jugement de l‘école. Ils ne sont que deux non arabophones débutants, lui et Lila qui arrive du Cambodge et qui a la grande qualité d’avoir des tas de playmobiles chez elle. Il a un emploi du temps très bien réglé avec trois heures et demi de cours le matin (et deux récréations d’un quart d’heure) et deux heures l’après-midi. Le matin du français, des maths et de l’arabe et l’après-midi, les trucs qui comptent pas : les arts (lundi dernière heure), les sciences, la bibliothèque et l’histoire géo. Il était super content de son emploi du temps… et puis il faisait le fier parce que les arabophones travaillent une demi-journée de plus qu’eux ! Chaque soir il a une petite fiche à lire : la Tour Eiffel le premier jour, les animaux marins le deuxième. C’est amusant. Il était super excité hier soir et faisait ses devoir avec entrain.

On va à l’école en trottinette en prenant bien soin d’éviter les voitures mais avant 8h, en plein Ramadan, tout le monde dort encore pour récupérer de la nuit et les routes sont vides !

L’école a mis en place une garderie spéciale Ramadan pendant la pause méridienne. Les enfants apportent leur pique nique et ils peuvent rester manger dans la cour de l’école. Ca commence la semaine prochaine. L’idée de manger dans la cour plait bien à Arthus et ça économisera un peu ses jambes (et les nôtres !)

Et pendant ce temps là, nous nous employons à chercher un appartement plus près de l’école pour ne pas avoir tous ces trajets à faire 8 fois par jour.

A l’agence immobilière qui se trouve au troisième étage d’un immeuble entre deux âges, j’ai trouvé la secrétaire et le commercial exceptionnellement doux (surtout si je les compare aux horribles charognards de l’agence Sergic d’Angers) On a rendez-vous tout à l’heure pour visiter quatre appartements autour de l’école.

Il y a de travaux en face de chez nous. Les ouvriers travaillent tôt le matin et terminent vers 16h. Ils restent dans l’immeuble en construction où ils passent la nuit. On pense que les normes de sécurité sont un peu aléatoires. De son lit, Arthus a une vue imprenable sur la bétonnière et sur les sacs de ciments qui sont acheminés vers le dernier étage sur des planches de bois brinquebalantes. Au début, il était sceptique mais maintenant, je le soupçonne d’apprécier ça !

Au lycée, Vincent, ainsi que tous les profs de sciences, fait la grève des T.P. (ça commence bien !!) car les salles ne permettent visiblement pas de proposer des TP aux élèves dans de bonnes conditions.

L’alliance française et la Dante Alighieri que je dois contacter pour donner des cours n’ouvrent leurs portes que la semaine prochaine, ou celle d’après. J’ai encore un peu de temps avant d’aller leur demander s’ils m’emploient !

Et en attendant je m’occupe de l’assurance, je tente de trouver un téléphone portable. Voilà, après avoir tiré un trait sur les produits bio et le tri sélectif, Vincent tire un trait sur les ondes qui entrent de plein fouet dans son existence entre la clé 3G et le futur téléphone que nous ne manquerons d’avoir car il semble très très difficile de vivre ici sans téléphone !

mercoledì 2 settembre 2009

Premiers jours

Casablanca m’enivre (et je vous assure que ça n’a rien à voir avec ma consommation d’alcool : on ne peut en acheter nulle part !)
Je suis complètement assommée par la masse compacte de nouveautés qui s’amoncèlent autour de moi. Je suppose que je vais m’y habituer mais pour le moment, je suis submergée !
Ce matin, j’ai accompagné Arthus à l’école et elle est très jolie, son école. Blanche et bleue avec une grande cour de récréation. On avait avec nous trois sacs remplis des fournitures qu’il devait apporter avec lui le premier jour : une dizaine de cahiers, des crayons HB, six bics, un stylo plume, une règle transparente douce décimètre, des protèges cahiers, un classeur (j’en passe, la liste est interminable), et tous les livres de classe plus les petits romans à lire. Quand il a vu la masse de choses, il a rentré la tête dans ses épaules en disant que bouh, il allait devoir travailler pour utiliser tout ça.
Dans sa classe, il y a 27 élèves dont seulement trois non arabophones. Il est en CE2 B (il y a A, B et C). Un collègue de Vincent a sa fille en CE2 C, dans la même école : ils arrivent du Cambodge.
Devant l’école, à midi, j’ai rencontré des tas de mamans : une prof parisienne en dispo qui a suivi son mari, deux profs du lycée de Vincent.
Vincent, lui, a eu deux tristes nouvelles hier : il travaillera le samedi matin, jusqu’à midi et il est professeur principal de sa classe de seconde. Ca ne l’a pas du tout enchanté. Je dois dire que je n’aimerais pas ça non plus.
Et moi, dans tout ça, je ne pré-rentre ni ne rentre. C’est très étrange comme sensation. Je crois que ce qui domine c’est une sorte de culpabilité, une vague impression de ne pas faire mon devoir, de ne pas être dans le rang. Jusqu’à hier, je n’y pensais pas. C’est d’entendre Vincent me raconter ses histoires de rentrée que je connais trop bien qui m’a mise face à mon inactivité. Bien que j’aie du mal à me concevoir inactive étant donné ce que je fais pendant une journée !

J’aime beaucoup les petits taxis. Ils sont très bienveillants à notre égard. On leur fait un signe, ils s’arrêtent et on leur dit où on veut aller. Ils acceptent, ou non, de nous laisser monter. Pendant toute la course en taxi, je pense : « heureusement que je ne suis pas au volant » et il nous dépose juste là on où voulait arriver. C’est amusant, ils peuvent prendre des passagers même s’ils ont déjà des clients. Si on veut aller dans la même direction, il prend tout le monde en même temps, comme un petit bus. Ils ont tous un petit toit noir avec écrit « petit taxi ».
Ils conduisent n’importe comment les gens ici et le plus surprenant c’est que l’automobiliste est roi absolu. Je ne l’ai jamais constaté autant qu’ici : le piéton n’a aucun droit, d’ailleurs il n’a même pas de feu.
Au feu rouge, on sait qu’on peut passer parce que les voitures sont (plus ou moins) arrêtées mais rien ne nous indique que c’est bien à nous d’y aller… et effectivement, ce n’est jamais vraiment à nous d’y aller parce qu’il y en a toujours qui tournent dans tous les sens.
Moi qui suis habituée à ne pas trop regarder, là je suis obligée d’être très vigilante. Le pire étant bien sûr dan les grand boulevards. Pour le moment, j’essaye de me mettre entre deux personnes qui traversent pour regarder comment ils s’y prennent. Leur technique à eux est très chorégraphique. Quand on traverse une rue avec quatre voies, on passe la première voie avec souplesse, on s’arrête, on passe la deuxième au premier creux et on s’arrête au milieu. Puis on s’arrête à nouveau entre la troisième et la quatrième voie et enfin, on fait le dernier morceau. Evidemment, à chaque arrêt, il faut veiller à ce qu’une voiture ne nous emporte pas un pied ou une main. C’est tout un art.

Il y a un marché juste à côté de la maison, le marché Badr. C’est très pratique, les fruits sont magnifiques, le poisson est frais et il y a des femmes qui viennent vers midi vendre des espèces de petites galettes de farine de blé ou de maïs toutes chaudes et très appétissantes (quand je les vois manipuler ces petits pains tièdes je me demande comment elles font sachant qu’elles ne mangeront pas avant le soir… j’ai beaucoup d’empathie pour tous ces gens qui ne mangent pas de la journée)

Et pour le reste, on a tous les formats de magasin de l’épicerie de la taille d’un frigo juste à côté à un petit supermarché de centre ville à quelques rues d’ici (un peu comme celui qui était à côté de chez moi à Toulouse). Les produits exportés coûtent les yeux de la tête (80 dh le petit pot de nutella, 40 dh le paquet de café par exemple) mais les produits locaux sont vraiment pas chers (2 dh les 4 yaourts).

Hier après-midi, alors que Vincent allait vaillamment participer à la deuxième partie de sa pré-rentrée, Arthus et moi avons pris un petit taxi pour aller jusqu’à la plage. C’est pas loin, l’eau est vraiment belle et il y avait un tas de monde, ce qui encourageait à penser qu’il n’était pas dangereux de se baigner. Mais quand j’ai regardé furtivement les (à vue de nez) deux cents personnes qui barbotaient : un homme, deux hommes, trois, quatre cinq six…. etc. Une seule femme en maillot de bain deux pièces qui a bien traversé toute la plage pour se faire remarquer (ce qui n’a pas loupé), trois femmes voilées et vêtues de long vêtements ne laissant voir que le bout de leurs mains, les pieds dans l’eau. Bon, j’ai décidé de ne pas me mettre en maillot de bain… J’étais vraiment prise entre le respect de ce que je constatais, le fameux dicton « à Rome, fais comme les Romains » et la vision que je ne pouvais pas m’empêcher de trouver scandaleuse de ces femmes qui restent sur la plage et de ces hommes qui se baignaient en short, en caleçon ou même en slip pour certains.

lunedì 31 agosto 2009

Voyage

Je ne vois pas comment le voyage aurait pu mieux se dérouler.
Il fut bien long, comme prévu, mais aucun de nous trois ne s’en est lassé. Nous étions seulement très très contents d’arriver.
Nous n’avons vu aucun bouchon, n’avons été arrêtés par aucun policier ni douanier malveillant, nous avons trouvé les campings quand nous les cherchions où nous les cherchions et nous avons utilisé avec brio les 5 années d’espagnol de Vincent et mes faux semblants de « mais oui, je parle espagnol, vous n’entendez pas ? ».
(Dans la réalité même Arthus s’est rendu compte que c‘était de la poudre aux yeux et que je mélangeais des mots italiens et des mots français en faisant comme si je n’avais aucun problème pour me faire comprendre !)

Le plus dur a sans doute été de partir.
Nous sommes partis avec le cœur un peu gros et avec la saudade humide d’Arthus de la veille comme semelles de plomb. Nous étions tellement dans la retenue que nous avons fait quatre pauses pendant les quatre premières heures ! Ensuite, nous avons pris un rythme plus régulier et nous sommes arrivés le soir à Salamanca où nous avons plongé dans une piscine avec un plaisir extrême tant nos treize heures de voyage avaient été chaudes. Vendredi, la journée a été bien plus courte, en sept heures nous avons atteint la côte de la lumière, au fin fond du sud de l’Espagne.
C’est très beau de traverser l’Espagne. C’est d’une monotonie assez douce qui m’a évoqué de grandes distances parcourues dans les films américains. Les couleurs changent, du vert au marron en passant par d’innombrables nuances de vert, et les éoliennes ponctuent le trajet par leur présence ultra-massive. Les routes sont confortablement bordées d’une aire d’arrêt par kilomètre, même si l’aire d’arrêt en question n’est constituée que d’une station essence perdue au milieu d’un néant surprenant.
Les petit bonheurs du voyage selon Arthus : se plonger dans la mer en arrivant à Tarifa, les vagues, en particulier le moment où il a chanté et une grosse vague l’a submergé, quand on a campé dans notre nouvelle tente et quand il a goûté la Paella.
Notre dernière soirée en Europe, nous l’avons passée dans l’empire du vent, les yeux déjà rivés sur les côtes marocaines, juste en face de nous.
Et j’ai bu un dernier verre de vino tinto mais nous étions déjà partis dans nos têtes.

Samedi, nous sommes partis tôt, avons tout plié très efficacement, sommes arrivés au port, sommes montés dans le bateau dans la foulée, avons fait tamponné les passeports à bord, avons déclaré la voiture à l’arrivée, tout ça avec une rapidité dont Vincent ne revenait pas.
Il s’était rasé et avait endossé une belle chemise espérant ne pas être la victime d’un douanier trop zélé. Ce fut assez efficace : il n’a même pas ouvert le coffre (qui ne regorgeait pas de marchandise volée ou contrefaite mais seulement de pots de pâtés pris à l’envolée au moment du départ).

A l’arrivée au Maroc, les gens autour se remettent à parler français, mais c’est un français bien étrange auquel je dois encore m’habituer. Pour le moment, je fais répéter les gens qui s’adressent à moi. Pour le reste, tout est différent me semble-t-il.
Les paysages sont plats (mais plutôt verts à ma grande surprise, ça semble très arrosé par endroits). On voit apparaître des bananiers sous les serres en mauvais état. Les gens travaillent dans les champs sur le bord de l’autoroute qui relie Rabat à Tanger avec des chapeaux de paille sur la tête et des carrioles tirées par des chevaux. On paye avec des dirhams (très grosso modo, 100 dirhams valent 10 euros). Les gens tendent facilement la main : le douanier a eu son bakchich de 2 euros et le gars qui a gardé ( ?) la voiture une minute trente quand on est allés changer de l’argent a réclamé son dû.
Ah si, les péages, eux, sont exactement comme en France.

Comme on est arrivés en plein Ramadan, les rythmes sont un peu étranges. Entre le lever du soleil et le coucher (19h07 samedi), tous les sièges des bars et des restaurants sont empilés en terrasse. A 19h07, a Rabat, a retenti un coup de canon pour donner le départ des festivités qui commencent par le « ftour » : les rues se vident et on coupe le jeûne en grignotant des dattes ou des œufs durs. Puis on mange toute la nuit (ouf !). A 3 heures du matin, un type est passé dans la rue à Rabat en réveillant les gens avec des instruments de musique pour dire que c’était le dernier carat pour manger avant le début de la journée !

Et puis voilà, finalement, dimanche, on est arrivés à Casa. Contents, tous les trois d’être arrivés chez nous. Et aussi plus simplement d’avoir un premier chez nous en fait.
On a fait les courses dans une épicerie, visité le marché du coin et aménagé un peu notre intérieur. Puis on est allés voir la grande Mosquée Hassan II et la Medina.
Arthus était content mais un peu fatigué (il a beaucoup joué à Rabat avec les potes, Titouan et Vadim) et il a trouvé que Casa était parfois « hideuse » (ça ne s’invente pas !). Sinon, on adore unanimement les motos breaks (sorte de mobylette break italienne à la marocaine), les petits taxis tous rouges (alors qu’ils étaient tous bleus à Rabat, une couleur par ville) (8 dirhams la course en moyenne, on a déjà commencé à les consommer sans modération), les fruits à profusion sur les marchés, les DVD à 8 dirhams et le jus d’orange.
L’eau du robinet, elle, est infecte et pour la première fois nous devrons accepter d’acheter de l’eau en bouteilles. Ni Nantes ni Toulouse n’avaient réussi à produire de l’eau assez mauvaise pour me pousser à cette extrémité. C’est à ajouter sur la liste des choses nouvelles qui avait déjà commencé avec les déchets. A Najac nous avions cinq poubelles, ici, nous jetons tout en essayant de ne pas trop y penser, dans le même sac qui subit les regards les plus réprobateurs.
Dans la rue, les femmes sont très habillées, peu d’entre elles n’ont pas de vêtement à manches longues malgré la chaleur. Je veille à garder les épaules couvertes grâce à un astucieux jeu de foulards qui me permet de ne pas avoir trop chaud.
L’appartement est agréable puisqu’on est dedans nous et que ça le rend plus vivant. Arthus l’aime bien, sauf la vue qui donne sur un immeuble tout fermé puis sur un autre en construction (j’ai essayé de le convaincre du caractère inévitable de la présence de la bétonnière mais… je ne suis pas sûre d’avoir réussi). Vincent, lui, l’apprivoise petit à petit en n’oubliant pas de faire une liste des problèmes à rectifier. L’immeuble est plutôt luxueux et le quartier agréable d’après nos premières promenades. Le marché et la boulangerie sont à deux pas (tiens, il n’y a pas de fournée le matin avec le Ramadan, on peut acheter le pain le soir).
Je me sens assommée par tant de nouveautés et la masse (providentielle !) d’informations reçues à Rabat grâce à Yan et Claire (qui va des salaires moyens par catégorie socio professionnelles à l’endroit où on peut acheter les bombonnes du gaz ou les vignettes auto en passant par les « petits trucs » pour ne pas se faire avoir ou pour faire de démarches immobilières) mais je suis enchantée.

venerdì 21 agosto 2009

giovedì 20 agosto 2009

il golfo di La Spezia



Che bello !!
La photo est prise des hauteurs qui surplombent La Spezia. On voit bien le golfe et, en face, l'isola della Palmaria à quelques mètres de bateau de Portovenere.



Le golfe des poètes porte bien son nom.
Séjour tout en douceur au rythme de belles promenades et de chiacchierate. Le frère de notre loueur, Silvano, était très étonnant. Un ancien baroudeur échoué dans sa maison familiale et fier de ses habiles déductions.

domenica 9 agosto 2009

Partenza

Une semaine à La Spezia et nous remplissons la voiture pour traverser l'Espagne les 27 et 28 août.