giovedì 19 febbraio 2009

Travailleurs vénitiens


Nous nous arrêtons sur le "ponte dei pugni" où sont dessinés quatre "pieds" pour marquer les points de départ des batailles entre quartiers.
Au cours d'une conversation nocturne, notre philosophe nous a fait remarqué qu'il trouvait qu'il y avait beaucoup de travailleurs à Venise. Ce matin, je les cherche et ne peine pas pour en trouver des tas. (il a toujours raison !)
Des éboueurs, un ouvrier transporte une poutre, un autre monte une scène en bois, des commerçants (partout, bien sûr !), des artisans (souffleurs de verre, mosaïstes, créateurs de masques...), des policiers, des fonctionnaires (la poste, en bateau, des profs -nous !), des gondoliers, des réparateurs de gondole, (nous découvrons les squeri, les garages des gondoles : photo), des livreurs de marchandises.
C'est peut-être pour ça qu'on ne se sent pas étouffés par le tourisme.

Ce qui est sûr, c'est que je respire bien ici. Tous les pores de ma peau profitent de la ville saupoudrée de confettis aux multiples visages dissimulés.
Nous faisons une pause sur le Campo San Polo alors que les adultes sont à la Scuola Grande di San Rocco. Arthus a trouvé une balle qui rebondit très loin.
Une ambiance de fête : deux chapiteaux, un petit théâtre rouge, des poussettes, des enfants qui lancent des confettis en l'air.
Et la balle qui rebondit encore. Plus loin.
A 13h, nous visitons la Fenice. Jean et Mimi craquent pour Roméo et Juliette à 10 euros. 10 euros ?? Vous n'y croyez pas, ils vous expliqueront...
Une longue promenade dans les ruelles avec le fabuleux spectacle du faiseur de tampons !
Ce qui nous donne une idée d'avenir : créateur de tampons. L'idée mûrit...

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