giovedì 8 maggio 2008

Locorotondo




Une photo de ma maison, rue Giuseppe Verdi.

Locorotondo est blanche. Tout y est blanc. Je l'ai découverte de nuit et elle était éblouissante : moelleuse et scintillante de tant de clarté nocturne.

Elle se trouve à quelques kilomètres d'Alberobello, le village des trulli où nous sommes venus l'été dernier.

Les noms de villages sont vraiment poétiques ici : je travaille à Noyer, je dors dans le lieu rond et je passe tous les jours dans le bel arbre pour me rendre du deuxième au premier lieu. Ce matin, j'ai fait le voyage en train.

Le chef de gare a été d'une gentillesse "pugliese". Déjà l'été dernier, j'avais commencé à dire "gentile come un pugliese", ça ne fait que se confirmer. Aprés quelques heures au lycée, j'ai plus parlé aux collègues qu'en une année à David. C'est vrai qu'il en a plusieurs que je connais déjà depuis quelques années. Mais eux semblent vraiment heureux de me voir, ce n'est pas le cas à Angers !

Aujourd'hui Berlusca a rendu publics ses ministères. La chose la plus étrange est le ministre de la "simplification"...

Le lycée est blanc, comme le reste, lumineux et calme.

Le proviseur a des ennuis avec Takis, et j'hésite encore pour savoir lequel des deux est mon chef.
Je penche quand meme pour Takis, le prof de maths grec tellement européens, tellement ouvert sur le monde et sur les autres. Sa femme m'a fait une délicieuse pastasciutta a mezzodì et sa fille déteste Milan où elle est obligée de faire ses études. Pire que Milan, selon elle, les Milanais.

Mon oeil droit palpite. A Dakar c'était le gauche. C'est sans doute parce qu'ils ne savent plus où donner de la tete tant je leur donne à voir.

Beata me !

2 commenti:

dom ha detto...

Ciao vicinina,

Rue Giuseppe Verdi, ça sonne mieux que rue du Quinconce et la façade est chouette.
Passe un bon séjour dans les Pouilles !!
Baci

Marie ha detto...

S� ma le giornate sono lunghe, sono sempre a scuola!!!! Adesso me ne vado per�